Un magazine en ligne

I l est né libre. Comme l’air, comme l’art. Il a su très vite vers quoi diriger ses mains travailleuses. Mais marcher dans les pas du paternel, exactement les mêmes... Était-ce la bonne voie pour celui qui avait tant à dire, à faire, à découvrir ? Il fallait bien que jeunesse se fasse. Alors François Passolunghi a opté pour un autre chemin – néanmoins voisin – : la menuiserie et l’ébénisterie. De toute façon, à l’époque, on ne formait pas au travail du rotin...